lundi 16 mai 2011

C’est pas moi, c’est l’univers (enfin plus ou moins)

J’ai foiré le début de l’année 2011 en ne prenant pas de bonnes résolutions, du coup je me suis dis que j’allais profiter de mon très prochain anniversaire pour rattraper le coup, (tout en sachant que vu que l’année des 22 ans a été franchement à chier, celle des 23 ne pourra être que meilleure).

(J’en profite aussi pour dire que 23, bah putain, c’est bien relou, je préférais largement mes 16 ans où, du haut de toute ta connerie adolescente dopée aux hormones, tu penses que tu as tout compris à la vie et qu’à toi, on te la fait pas, et des années plus tard, 7 pour être exacte, ben, en fait tu réalises que tu sais rien du tout et que c’est bien le bordel !

En plus 23, c’est plus proche de 25 que de 20, fatalement, enfin mathématiquement, du coup, ça y est, pour ma petite cousine (qui vient de fêter ses 18 ans, la pute) je suis passée du côté obscur de la force, à savoir celui des vieux cons, « Non, mais Auri, laisse tomber, tu peux pas comprendre… » Morue.)

Bref, là je m’égare un poil. Donc retour à l’idée de base : les résolutions (plus ou moins bonnes), et plus particulièrement la première que j’ai prise, avec quelques jours d’avance certes, mais tout de même :

Me mettre au sport.

Pourquoi ? Pour une raison très simple et sensée : je me suis acheté récemment un maillot de grosse (grosse) chagasse chez American Apparel qui ne saurai supporter une quelconque culotte de cheval ou cellulite.

Alors là, je te rassure tout de suite hein, pas un vrai sport comme aller courir, faire des abdos ou du tennis… Non, non, t’inquiètes j’ai choisi un sport de pigeon (comprendre le dernier sport plus ou moins la mode), j’ai nommé l’aquabike.

(Bon, je vais pas t’expliquer en détails ce qu’est l’aquabike, déjà parce que le nom est tout de même assez parlant, et que je suis pas sponso par la salle de sport donc faudrait pas déconner non plus… )

Donc bon ça y est, je suis décidée, j’appelle donc le centre que j’ai choisi (le plus près de chez moi, soyons honnêtes, jamais je ne me bougerai le cul rive droite pour faire du sport). Et ben, croyez-le ou non, c’est super select l’aquabike.

Juge donc par toi-même :

J’appelle, en disant que je voudrais des renseignements et m’inscrire pour un cours, mais apparemment, c’est loin d’être aussi simple que ça, ma brave dame. Il faut donc d’abord dire quels créneaux horaires t’intéressent, qu’ils voient si c’est faisable ou pas. Remarque, moi je suis pas chiante niveau créneaux horaires sachant que je ne branle rien de mes journées en ce moment (enfin, à part préparer mon diplôme pour juin, mais ça on s’en fout). Je précise donc que le vendredi n’importe quand c’est bon pour oim. La grande prêtresse de l’aquabike me dit qu’il faut d’abord que j’ai un « rendez-vous » avec eux et après je pourrais éventuellement m’inscrire pour une séance d’essai. Banco, dis-je. Elle consulte donc le planning en mode « Hum, hum, hum… Ouais… Là, ça va être un peu chaud… », tout ça pour finir par me dire que là, c’est ghetto niveau organisation mais qu’elle me rappelle dans la semaine pour me dire.

Donc, maintenant j’attends.

(M’est avis que si la prêtresse de l’aquabike rappelle aussi vite que les mecs, je suis pas prête de poser mon cul sur ces fameux vélos).

En tout cas, on pourra pas dire que j’ai pas essayé, j’y suis pour rien si l’univers me met des bâtons dans les roues (aquatiques qui plus est. Ouais, ça c’était un peu le « lol » du jour, je suis comme ça moi).

A suivre…

Des bises mes bichons

(Si tu as eu le courage de lire ce post jusqu’au bout, tu viens de gagner un point de karma, bravo.)

mercredi 20 avril 2011

Hooked on a feeling


(Photo chopée sur Elle.fr, ici)

L’autre jour, au Daily Monop’ je suis tombée sur David (Hasselhoff, pour celles qui suivent pas), qui, ébloui par mes cheveux brillants et mon faciès radieux, m’a proposé d’aller prendre un café ou une Kro au Domac du coin. Tu me connais, la célébrité j’ai jamais pu y résister, c’est d’ailleurs un peu pour ça que j’ai épousé Alexa (mais si, souviens-toi). Donc ni une, ni deux, David et moi allons prendre un verre, puis un autre et ainsi de suite, tu vois le tableau. Du coup, quand il m’a proposé il y a quelques jours de faire un saut à Coachella avec lui, t’imagines bien que je ne me suis pas fait prier. J’ai quand même pris la précaution de me teindre en blonde avant, histoire de passer incognito au cas où je tomberai sur mon épouse (Alexa, on dirai pas comme ça, mais sous ses airs coolos elle est genre super jalouse, relou).

Comme je suis sympa, je t’envoie une photo de notre séjour. J’espère que tu kifferas le jean de David, perso je trouve que j’ai fait vachement de progrès en matière de customisation, je pense d’ailleurs à ouvrir une boutique Etsy, histoire que tout le monde puisse en profiter.

mardi 12 avril 2011

D'après Google, je suis une vieille chaudasse (mais ça va, je le vis bien !)

Les poulets,

Il y a quelques jours, dans un moment d’errance, je suis allée consulter les « stats » du blog, et les mots clés qui ont amener certain(e)s d’entre vous ici. Et là, que vois-je, outre l’improbable « je te kiff tu me kiff on é kif kif », je suis tombée sur ça :

Voilà, je te laisse kiffer ta race, et méditer sur les merveilles d’internet.

Je tiens à remercier personnellement l’internaute en question pour ce fou rire mémorable.

dimanche 10 avril 2011

Come back, baby, come back

Mes bichons des bois,

Plus de deux mois sans poster, c’est moche, j’ai honte et je dois vivre chaque jour avec cette culpabilité dévorante, c’est terrible.

Du coup, aujourd’hui, pour me faire pardonner c’est un peu la grosse teuf du post, avec des informations vitales par milliers, au moins.

Début 2011 a été un tantinet compliqué, d’où ma grève du clavier, les histoires de meufs qui chialent ou qui n’a pas de vie parce qu’elle passe des concours, ça fait chier, personne ne veut lire ça, même pas toi alors que, disons-le franchement, tu me surkiffes à mort. MAIS ne rien poster, ne veut pas dire avoir déserté tous les blogs (oh, la transition qu’elle est belle), du coup je voulais, dans un excès de bienveillance, vous faire partager deux blogs qui ont égayé mes journées comme Valérie Damidot égaye mes dimanches après-midi.

Genuine Diary by Paulinette : Je la suis maintenant depuis plusieurs mois et la lis avec assiduité, mais je n’ai jamais commenté, il est donc fort probable que la meuf flippe un peu et me prenne pour une grande malade fanatique, tendance je tue des chatons avec mon sèche-linge, mais tant pis, Paulinette c’est un peu mon amie imaginaire de la blogosphère. A part le fait que je trouve cette fille super touchante, je la trouve surtout HYPER drôle, pour moi c’est un peu la fille spirituelle de Violette, et tu sais à quel point j’adule Violette (au point que je veux avoir des enfants uniquement pour pouvoir raconter leurs frasques sur mon blog, tout comme elle). Alors toi aussi, lecteur, lectrice, va kiffer chez Paulinette, et dis lui à quel point tu la trouves merveilleuse (parce que moi, sur son blog, j’ose pas, je préfère faire des posts flippant sur le mien).

La vie de Lu : les dessins de cette meuf sont un tuerie, elle a vraiment « une patte » comme dirai ma mère (Big up maman, si jamais tu passes par là). Et elle aussi, elle est très très drôle.

Voilà, normalement je reviens bientôt, sauf si le nuage radioactif me frappe avant que j’ai eu le temps d’écrire un nouveau post.

(Si tu veux une dernière info vitale, achète Glamour, ce mois-ci ils t’expliquent comment être une bonne nympho, et ça, toi même tu sais, ça peut toujours servir.)

mardi 18 janvier 2011

Je sais que le 18 janvier c’est un peu tard pour les vœux, mais mieux vaut tard que jamais paraît-il…

Je vous souhaite donc à tous une très belle année 2011 !

Sur ce, je retourne crouler sous le boulot et les questions existentielles, en essayant de revenir bientôt.

Des bises

mercredi 3 novembre 2010

Point "culture"

Aujourd’hui, on se cultive. (Oui, je sais, on est même pas lundi, mais bon, c’est déjà l’anarchie sur ce blog et puis je suis d’une humeur de chien en ce moment (pour moult raisons, fort valables d’ailleurs), il s’agirait donc de ne pas me faire chier avec des histoire de planning. Voilà, ça c’est dit.)

(Fais pas cette tête là, lecteur, mon bichon, même saoulée au plus haut point, toi, je te kiffe à mort).

Aujourd’hui, la brebis vous incite énergiquement à aller voir « Picture me, le journal vérité d’un top model » de Sarah Ziff et Ole Schell.

Donc là vous allez me dire « ouais, nan, pas besoin de voir un docu sur les mannequins, on a déjà vu « Le Diable s’habille en Prada », c’est bon, la mode, tout ça on connaît » (oh, ça va, je te taquine).

L’histoire, le pitch comme qui dirais, en gros c’est quoi ?

(Je te copie-colle le résumé d’Allociné, c’est mal, je sais, je te déçois, mais à 4h11 du matin, j’ai un peu du mal à rassembler mes idées. Demain, au réveil, je serai probablement rouge de honte d’avoir écrit autant de conneries.)

« Repérée à l‘âge de 14 ans par un photographe à la sortie de son école New-Yorkaise, Sara Ziff, devient très vite un top model à succès. De photos chics en défilés, d’un avion à l’autre, entre New York et Paris, Londres et Milan, elle croit vivre un rêve éveillé. Avec son ami Ole Schell, cinéaste, elle se livre à un jeu innocent : filmer l’envers du décor. Petit a petit, voilà que "Picture Me", chronique de 5 années de défilés et fashion weeks, devient plus sombre et inattendu. La caméra vole des instants de vérité crue, et lève le voile sur un monde moins glamour qu'il n'y paraît. Bientôt pas une journée ne se passe sans que Sara ne se demande : "Jusqu’où suis je prête à aller pour l'argent et le succès ? Jusqu'à quand vais-je tenir ?" ».

Voilà. Avant d’y aller j’avais un peu peur de ce que ça pouvait donner et finalement, je dois dire que j’ai été vraiment étonnée et plus que séduite.

Alors oui, au début, tu penses un peu que Sarah, étant ultra-bonne, mannequin (connue donc riche), avec le même mec depuis 10 ans (si je dis pas de conneries), bon ben, obligé, c’est une connasse. Après tu t’en rends compte, qu’en plus, elle est intelligente, méga-connasse donc. Mais en fait, au bout d’un moment, Sarah, tu l’aimes. Tu découvres qu’elle aussi, elle est rouge et bouffie quand elle est dans son bain, ou quand elle pleure, qu’elle aussi, ça lui arrive d’avoir des problème de peau, tout ça quoi. Tu réalises que Sarah, finalement, elle un peu comme toi (avec 50 cm de plus et 30 kilos de moins certes, mais quand même).

Plus sérieusement, j’ai trouvé que le film était fait avec une rare justesse et beaucoup d’intelligence, avec un réel souci d’objectivité. Certaines scènes sont assez bouleversantes, mais filmées et montrées avec beaucoup de sobriété et de simplicité.

C’est, selon moi, un beau documentaire, à voir. Rapidement qui plus est, parce qu’il ne passe que dans des petites salles.

J’espère t’avoir convaincu.

Bises

(Désolée pour les sautes d’humeurs, mais, étant ici chez moi, j’ai bien le droit d’avoir des relents de crise d’ado, et de raconter des grosses conneries, et puis avoues, c’est aussi un peu pour ça que tu viens).

mardi 26 octobre 2010

Chagasserie

Avant de commencer mon habituel débit d'idioties : merci pour vos commentaires, notamment sur le dernier post. Sur ce, je vais plonger mon égo dans l'eau froide pour le faire dégonfler...

Collier Alphabeta

Aujourd’hui, pétasserie.

Ah, l’avantage du masque, faire des photos de chagasse sans avoir peur d’être reconnue, c’est beau.

Bref, aujourd’hui on parle « décorations », bijoux j’entends. En me baladant sur le site des Fleurs, l’autre jour à la recherche d’idées de cadeaux de Noël, je suis tombée sur ce collier. Que j’ai kiffé. Beaucoup.

Et comme je suis faible, impatiente, que je ne supporte pas la frustration et que je grillerai sûrement en enfer pour l’éternité à cause de ça, je me suis traînée jusqu’à la boutique des Fleurs, à Ledru Rollin, autrement dit à l’autre bout du monde pour moi qui me sens perdue dés que je quitte la rive gauche, bravant le froid, les mouvements sociaux, mes collants qui descendent…

Me voilà donc en terre inconnue, rentrant le ventre et retenant mon souffle pour éviter de renverser les milliards de vitrines, pleines de trucs complètement inutiles mais qui font tellement envie. Et après de longues hésitations, tergiversations (parce que je suis le genre de meuf qui a besoin d’un plan en trois parties pour choisir ses chaussettes le matin, donc pour les mecs et les études je vous laisse imaginer le calvaire), j’ai choisi. Celui-là donc.

Tout ça pour vous parler des bijoux Alpha Beta, enfin juste pour vous dire qu’ils déchirent leur race (et je ne suis même pas soudoyée pour dire ça). Beaux, simples, classes, indémodables. C’est dit.

Pour les parisiennes, où celles de passage, je vous conseille vraiment de faire un tour vers Ledru-Rollin, enfin chez Les Fleurs, en tout cas, je ne me suis pas trop baladé dans le quartier, j’avais trop peur de me perdre, d’être entrainée dans une manif par une bande d’anars enragés ou pire encore…

Bises

Info pratique du jour : Le moelleux au chocolat Picard brulé = vraiment pas terrible.

mercredi 20 octobre 2010

Optimisme hivernal



Pull et t-shirt H&M.

Hier j’ai écrit « à demain », demain, maintenant c’est aujourd’hui du coup et comme je suis un être de parole, je suis là.

Un gros pull ultra confortable et chaud, un t-shirt, et le tour est joué si j’ose dire, en bas un jean trop grand qui me fait un postérieur de la taille de la Corse, sans grand intérêt donc, le jean hein, pas la Corse. Tout ça pour dire qu’aujourd’hui, plus que de fringues, on parle d’hiver.

Alors pourquoi me direz-vous ?

Tout simplement parce qu’en ces temps de grèves, de crise, de manifs, de contrôleurs SNCF qui répondent à leurs passagers au chômage qu’ils n’ont « qu’à aller trouver du travail », de nuit à 18h30, de pluie qui fait couler l’eye-liner que tu as réussi à poser après 15 essais, de températures qui changent, légèrement certes, mais bizarrement t’es jamais dans le ton, donc ou tu sues comme une malade, en étouffant, ou tu es bleue… Bref, du coup, je me suis dit qu’il était presque de mon devoir, à l’aide de mon optimisme légendaire, de remonter le moral des troupes, en vous donnant quelques raisons de kiffer cette période de l’année.

Allons-y :

· Raison n°1 : Les trains sont blindés, certes, les gens y sont debout ou assis par terre dans le meilleur des cas, c’est vrai, MAIS : ils se parlent, souvent pour balancer des saloperies sur le dos de la SNCF, et c’est ça qui est beau, quel meilleur moyen pour tisser des liens que de médire ensemble ? Pensez-y, le lien social, c’est important.

· Raison n°2 : Il pleut et ça décoiffe, certes mais cela crée l’effet « wild » un peu négligé que vous cherchiez à obtenir depuis des mois, n’écoutez pas les médisants selon lesquels « l’eau de pluie en ville, elle est sale », c’est écolo et économique.

· Raison n°3 : La chaleur ne reviendra pas avant longtemps, les maillots non plus du coup, donc pas besoin de faire attention à ce que vous mangez, puisque vos efforts seront de toutes façons niqués par les fêtes de Noël. (ça marche aussi pour l’épilation, mais si vous voulez garder votre mec ou en trouver un, ne faites peut être pas les deux en même temps (je dis ça pour me couvrir, des fois que ça crée des problèmes et que ça me retombe dessus)).

· Raison n°4 : Il fait froid, bon, mais qui dit froid dit réconfort comestible chaud et soirée en intérieur, cela signifie donc le retour (tant attendu) de la raclette, de la fondue et autre tartiflette. (Si c’est inefficace, on peut toujours se donner chaud en regardant True Blood… Oh… Eric…).

· Raison n°5 : Noël arrive lentement, donc on a encore un peu de temps avant de stresser et de faire un plan de financement pour les cadeaux de nos êtres chers, mais sûrement, on peut donc commencer des listes, pour soi et pour les autres, tout en sachant très bien qu’on changera d’avis 150 fois, pour soi et pour les autres, mais ça permet d’y être déjà un peu.

· Raison n°6 : C’est le retour des clémentines.

· Raison n°7 : Le froid, le vent, la pluie, tu as les lèvres gercées mais tu as tout le temps les joues roses, ce qui signifie : économie de blush.

· Raison n°8 : Le meilleur moyen de se protéger du froid : accumuler les couches de vêtements, alors oui, tu as l’air d’un bibendum et tu as du mal à bouger, mais le point positif c’est que, comme ça, tu mets plus de vêtements, ce qui te permet de prouver à ta mère qu’elle a tort quand elle te dit que tu en as trop et qu’il n’y a pas assez de jours dans l’année pour que tu puisses tous les porter.

C’est tout pour les conseils, faites-en bon usage.

Sur ce, je vous laisse, j’ai mon saumon qui brûle.

mardi 19 octobre 2010

Moi, personnellement, pour ma part...

L’info mégalo du jour :

Aujourd’hui je suis chez Capelines et Richelieux, pour une interview palpitante, un peu à l’image de ma vie finalement !

Plus sérieusement, un grand merci à eux de s’être intéressés au blog et à mon égo (qui a encore du mal à s’en remettre).

A demain ?